Rêvons quelques instants. Imaginons un petit miracle : pourvoir interviewer Mozart… Quelle aubaine ! Comment voit-il les réseaux sociaux ? S’en serait-il lui-même servi ? Cap sur Mozart 2.0 !
Découvrez l’interview fictive que j’ai réalisée avec une collègue, Rachel Brunner.
L’ouvrage Collectionner la musique : histoires d’une passion est le premier volume d’une série qui en comporte trois. L’histoire des collections portant sur la musique classique européenne – musique ancienne comprise – est un champ de recherche récent. Cette thématique a fait l’objet d’un colloque international organisé à l’Abbaye de Royaumont (Ile-de-France), qui a débouché sur ce livre paru en 2008. Les deux autres tomes traitent des collectionneurs interprète (2012) et érudit (2015). La maison d’édition, Brepols, est spécialisée dans les publications académiques et notamment dans les études de sources.
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Article complet (continuer à partir du deuxième paragraphe).
Avec une collègue, j’ai étudié la manière dont le Musée de l’Elysée de Lausanne, spécialisé dans le domaine de la photographie, utilise les réseaux sociaux dans sa politique de communication.
Intitulé The Musée de l’Elysée on Social Media : valorisation de l’humain et de l’écrin, cet article est le fruit de l’interview du community manager du musée, Manuel Sigrist. Il aborde la stratégie de communication 2.0, la manière dont elle est mise en oeuvre ainsi que le profil du responsable de la comm’ au moyen des nouveaux médias.
Découvrez début juin mon compte rendu de Collectionner la musique, histoires d’une passion. Cet ouvrage collectif nous fait découvrir les archives musicales du Padre Martini ou d’Aloys Fuchs pour les plus connus, mais aussi celles de Hernando Colón – fils de Christophe -, de Jean IV du Portugal, de Masson de Meslay ou de Charles Scharrès.
Travaillant depuis l’automne 2012 comme bibliothécaire-assistant à la BCU de Lausanne, site Riponne, j’ai souvent été interpellé par les personnes qui fréquentent cette institution le soir. Quelques réflexions.
La bibliothèque revêt certes un caractère utilitaire. Les salles de lecture accueillent les étudiants et les autres personnes à la recherche d’un espace de travail tranquille. Plusieurs autres aspects pratiques attirent un public varié et clairsemé mais plutôt régulier : photocopieuses, ordinateurs, borne de prêt, etc.
Mais au delà de ces considérations, la bibliothèque incarne-t-elle autre chose pour un public nocturne ? Parmi les questions que je me pose, les suivantes reviennent souvent :
– Dans un espace convivial se trouvent des fauteuils et un accès wifi gratuit. Sont-ils les seuls facteurs qui poussent des groupes, d’hommes surtout, à y venir régulièrement, souvent jusqu’à l’heure de fermeture ?
– Une partie du public nocturne fréquente-t-il la bibliothèque pour y avoir des contacts ?
– Que recherchent les personnes qui semblent éviter le contact ?
– Dans cette situation, quelle est ma responsabilité vis-à-vis des usagers et de ma hiérarchie ?
